C'est avec un grand plaisir que Thierry Gautier, géobiologue-sourcier, vous accueille et vous souhaite une excellente visite sur son site.

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Animaux : les chats et les chiens sont sensibles aux ondes telluriques !

C’est parce que des vétérinaires ont constaté systématiquement aux mêmes endroits, et ceci sur une période de plusieurs années, la présence de bêtes malades dans des bâtiments d’élevage que la géobiologie s’est fait connaître du grand public. L’influence du lieu était prouvée et la réalité des “ondes nocives” évidente. De plus, le fait qu’il s’agisse d’animaux excluait totalement toute notion d’autosuggestion.

Nous traiterons dans ce dossier de nos animaux de compagnie :  les chiens et les chats.

Les chiens affectionnent les endroits sains et positifs, ce qui leur vaut le qualificatif d’animal “solaire”. Ils redoutent les nocivités telluriques et les fuient. Si leur niche ou leur panier est placé en zone perturbée, ils refuseront de s’y rendre.

Si, par malheur, ils sont attachés à demeure en de tels endroits, ils deviendront hargneux, agressifs et nerveux, aboyant sans arrêt, ou bien alors ils déprimeront.

Le Chat

 

influence des perturbations telluriques sur le chatA l’inverse du chien, le chat affectionne les endroits négatifs. La tradition l’associe à la lune. Le chat noir du clair de lune est donc un animal “lunaire”. Il aime à s’asseoir, à se prélasser et à dormir sur les points les plus négatifs et les plus nocifs. A plus forte raison s’ils sont confortables ! Il choisira toujours le même bras du fauteuil, le même emplacement sur le lit de son maître parce que ces endroits seront négatifs et géopathogènes (très souvent des noeuds Hartmann de forte intensité).La fourrure du chat a d’ailleurs la curieuse propriété d’équilibrer la zone perturbée en émettant des micro-ondes (entre 1,5 et 6 gigahertz). La fréquence de ces micro-ondes est favorable au traitement des rhumatismes articulaires. Ceci expliquant cela, voici la raison pour laquelle certains médecins conseillaient autrefois à leurs patients souffrant de rhumatisme articulaire de caresser le plus possible leur animal de compagnie.

 

Témoignage de Thierry Gautier, géobiologue et auteur de “Votre maison est-elle nocive ?” et du “Guide pratique de l’habitat sans nocivité pour la santé”.

“J’ai eu l’occasion de faire l’expertise géobiologique d’une belle maison de la région bordelaise. Celle-ci était principalement exposée aux rayonnements telluriques d’une circulation d’eau souterraine de forte intensité. D’une largeur moyenne (environ 2 mètres), sa présence ne posait pas de problème, sinon dans une chambre d’ami où il fallait déplacer un lit.

Dans le reste de la maison, son parcours l’amenait dans un coin du salon, dans l’entrée et dans un dégagement. Les habitants se trouvaient d’ailleurs très bien dans leur maison. Ce qui a été particulièrement intéressant, c’est d’avoir poursuivi la détection jusque sur la terrasse jouxtant le salon et s’apercevoir que la niche du chien était précisément placée en travers des rayonnements. Après en avoir informé les propriétaires, ceux-ci ont déclaré ne pas être surpris  d’apprendre que la niche était mal placée. Elle avait été longtemps à un autre endroit, et n’ était  sur la terrasse que depuis seulement quelques mois. Or, depuis ce “déménagement” le golden-retriever avait toujours refusé d’y entrer (auparavant cela ne posait aucun problème). Je ne fus pas surpris quand les propriétaires m’informèrent que, par contre, le chat  avait aussitôt adopté cette niche qu’il préférait dorénavant à son coussin (sur lequel le chien allait maintenant fréquemment s’installer !). De surcroît, le chat ne ratait jamais une occasion, quand la porte restait entrouverte, de se glisser dans la chambre d’ami pour dormir sur la partie du lit exposé aux rayonnements de l’eau… cette eau qui passe également sous la niche du chien !”

Animaux en Cage

Si certains animaux en cage tels que hamsters ou souris blanches, deviennent agressifs jusqu’à mordre, il suffit parfois de déplacer leur “maison” pour s’apercevoir après quelque temps que leur agressivité n’était que le reflet de celle ressentie à l’endroit précédemment occupé, ayant pour origine une perturbation tellurique.