C'est avec un grand plaisir que Thierry Gautier, géobiologue-sourcier, vous accueille et vous souhaite une excellente visite sur son site.

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Courrier des lecteurs

Choisir un téléphone mobile

Geneviève (Belgique)

…Je me suis présentée chez un vendeur pour acheter un nouveau GSM en lui demandant un modèle simple qui répond à l’appellation DAS, ou TAS inférieure à 2W/kg.
Le vendeur n’a jamais entendu parlé de cette norme. J’ai téléphoné chez … (nom de la marque) Belgique qui n’est au courant de rien… ils ne trouvent aucune trace de cette appellation dans leurs fiches techniques. Je me permets de vous écrire pour vous demander comment je peux avoir cette info pour faire l’achat d’un modèle en connaissance de cause. A qui dois-je m’adresser ? Connaissez-vous des modèles, des marques moins polluants que d’autres ?
Je vous remercie et vous serai très reconnaissante de m’éclairer et de me permettre de faire un achat plus respectueux pour ma santé et celle de mes proches. Je pourrai aussi en parler autour de moi !

RÉPONSE

Nous sommes très surpris de la réponse faite par le vendeur que vous avez rencontré. C’est la première fois que ce cas se présente  En France, le DAS est  souvent indiqué sur la petite fiche (indiquant le prix etc…) posée près de l’appareil lorsque celui-ci est exposé en vitrine. Sinon on le trouve dans la brochure de l’opérateur, ou la fiche technique (souvent au chapitre PRÉCAUTION D’EMPLOI et non pas FICHE TECHNIQUE).. Ceci est valable pour l’Europe (le DAS doit être inférieur ou égal à 2W/kg selon la recommandation européenne du 12 juillet 1999). Je vous conseille d’aller voir un autre détaillant spécialisé, un autre vendeur… sinon vous pouvez consulter les sites des marques qui vous intéressent, le DAS sera indiqué pour chaque modèle.
Il n’y a pas de généralités, vous pouvez avoir dans une même marque, un modèle avec un DAS de 0,7 et un autre de 1,8. Puis 3 mois plus tard, les modèles changent et les DAS aussi ! Il faut donc avoir le DAS du modèle que vous voulez acheter.

 

Mesurer les champs électromagnétiques 50 Hz

Sébastien (01)

Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous indiquer où nous pouvons nous procurer la sonde magnétique basses fréquences qui est en photo page 13 de votre Guide pratique de l’habitat pour la santé ?
Nous avons un voltmètre et sommes capables de bricoler un petit circuit si nécessaire.

RÉPONSE

Les appareils que vous avez vu dans le livre page 13 ou 117 sont des appareils professionnels (entre 600 et 1000 Euros). Le multimètre est équipé d’une sonde (en orange) pour champs magnétiques et d’une perche diélectrique pour les champs électriques. Ce n’est pas le multimètre qui est cher mais la sonde.  Vous pouvez trouver des appareils bon marché destinés au grand public (moins précis et affichage moins stable) qui donnent cependant des indications intéressantes sur la présence des champs électromagnétiques 50 Hz. Je vous invite à consulter notre site www.conscienceverte.fr à la la rubrique Le matériel de la géobiologie .

 

Des livres scientifiques sur les rayonnements de l’eau

Grégoire (91)

Je suis à la recherche d’ouvrages scientifiques traitant de l’eau souterraine du point de vue de la géobiologie ou des sourciers .

RÉPONSE

Voici deux ouvrages scientifiques de référence :

“Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie” de Robert Endrös (éd.  Au Signal)

“Les sourciers” de Yves Rocard (collection “Que sais-je ?” aux Presses Universitaires de France)

 

 

Le nom de la baguette de sourcier

Jean-Marc (06)

Je dois réaliser un travail sur les anciens métiers et je recherche le nom spécifique de la baguette en bois (branche fourchue) qu’utilisait autrefois le sourcier pour indiquer au puisatier à quel endroit il devait creuser.

RÉPONSE

Le nom de la baguette est : la furcelle. Elle est généralement en coudrier (noisetier sauvage) ou en saule, qui sont des bois souples et flexibles.
Nous vous invitons à lire le dossier “chercher l’eau avec des baguettes de sourcier” de géobiologie magazine n°2.

 

Halte au formaldéhyde

Nathalie (44)

Toutes mes félicitations pour votre initiative d’avoir créé ce site, très bien conçu, intéressant et en plus grâce auquel des échanges vont pouvoir se mettre en place. Bonne continuation.

Concernant les émissions de formaldéhydes, vous indiquez qu’il est possible de les réduire en recouvrant la tranche des panneaux de particules par une peinture écologique. J’ai pour souvenir lointain de source (oubliée) avoir entendu dire que cela ne pouvait que aggraver la situation en créant une réaction chimique entre la peinture minérale écologique et le panneau de particules, coller sur la tranche un ruban spécial n’était pas mieux car ce ruban émet des COV. J’ai pour souvenir d’avoir entendu qu’un seul type de matériau était capable de permettre une réduction par étanchéité totale sans émettre lui même des COV, mais le nom je ne m’en souviens pas. Si quelqu’un peut nous aider !?

RÉPONSE

Merci de votre mail d’encouragement !

a) nous n’avons pas d’information sur l’éventuelle réaction chimique avec une peinture écobiologique…

b) un ruban adhésif ne nous semble pas pouvoir être source d’importants dégazages de COV

c) nous lançons un appel aux lecteurs de Géobiologie Magazine pour connaître le type de matériau capable de réaliser une étanchéité totale sans émettre de COV . Voilà qui est fait !