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La règle de Bovis (deuxième partie)

Radiesthésiste utilisant la règle de Bovis pour mesurer l’énergie vitale d’une personne

LES RECHERCHES SUR L’HUMAIN

Après avoir travaillé sur la qualité vibratoire des aliments, André BOVIS utilisa sa règle pour quantifier celle des humains. Tout comme pour les aliments, le “juste milieu” se trouve à 6500 UB. Si un individu est mesuré à 7000 ou 7500 UB, il a une énergie au-dessus de la normale. Cette situation se rencontre lorsque nous sommes reposé, frais, alimenté sainement (avec des aliments forts en énergie vitale) et en dehors de toutes préoccupations matérielles ou émotionnelles (qui sont bien souvent dévoreuses d’énergie). À l’inverse, une valeur inférieur à 6500 indique une faiblesse énergétique pouvant être la conséquence d’un immense effort physique, d’un surmenage mais aussi d’une maladie. Bovis constata alors que les personnes atteintes d’un cancer vibraient à 3800, celles atteintes de tuberculose à 4200. Ces  affirmations (souvent portées en valeur guide sur les règles de Bovis), semblent pour le moins sujettes à discussion : on peut être mesuré à 4200 UB après avoir effectué des travaux pénibles sans être porteur de la tuberculose ! La preuve est qu’après une bonne nuit de repos le taux vibratoire de l’individu aura forcément remonté. Un état faible peut être seulement passager et ne saurait être considéré comme la preuve irréfutable d’une maladie aussi grave que la tuberculose ou le cancer*.

De plus, il n’est pas rare de rencontrer des personnes ayant constamment un taux bas ou élevé. Cela peut être dans leur nature et ne signifie pas pourtant qu’elles sont atteintes de telle ou telle maladie. Si certains ont naturellement la chance d’être perpétuellement dans une forme extraordinaire c’est qu’il ont la capacité de capter et stocker aisément, la plupart du temps à leur insu, l’énergie vitale. À l’inverse, d’autres, montrant toujours une faiblesse constante et un incapacité à faire certains efforts, ne doivent pas être considérés comme des paresseux mais comme des individus ne pouvant conserver durablement l’énergie vitale. Dans ce dernier cas, si cela n’est pas dû à une maladie, un accompagnement énergétique par un thérapeute spécialisé peut être utile.

 

*sur ce point, il me semble important de préciser qu’il est indispensable de faire procéder à des dépistages médicaux pour les cancers et non pas avoir recours uniquement à des procédés radiesthésiques. Il faut laisser à chaque discipline ses qualités. Ne faire confiance qu’au pendule expose le patient à un risque d’erreur qui peut lui être fatal. À l’inverse, la radiesthésie peut parfois mettre en évidence un maladie dont il sera urgent, si le dépistage n’avait été fait, de contrôler l’existence par des analyses médicales. La radiesthésie ne doit pas se substituer au médecin mais être éventuellement une aide supplémentaire, toujours dirigée par un véritable professionnel de la radiesthésie médicale, spécialisé exclusivement sur ce thème, connu comme tel et ayant des connaissances médicales avérées.