C'est avec un grand plaisir que Thierry Gautier, géobiologue-sourcier, vous accueille et vous souhaite une excellente visite sur son site.

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La détection

 

Lorsque vous avez un calme intérieur et que la convention est clairement établie, commencez à marcher devant vous, non sans avoir au préalable, pensé à votre parcours. Ceci afin d’éviter, en cours de détection, un arrêt qui pourrait vous faire perdre une partie de votre concentration.

 

Évitez de vous posez des questions personnelles comme : les baguettes vont-elles réagir ? vais-je réussir ? est-ce que quelqu’un me regarde ? n’ai-je pas l’air ridicule ? car toute question vous entraîne en dehors de votre concentration et peut également amener le doute. Le doute est le pire ennemi de celui qui pratique la détection, car il engendre la perte de confiance et donc la perte de l’acceptation des capacités à ce que nous puissions, sans l’aide de nos 5 sens, découvrir la présence de l’eau.

 

  • mouvement rods applomb de l'eau
  • Marchez d’un pas lent car la rapidité ne fait pas bon ménage avec la concentration et la précision du résultat. De plus, si vous avancez trop vite, vous déplacerez le point de rencontre avec l’eau, car pendant la réaction de vos baguettes, vous avancez toujours ! Un forage peut être désastreux si la localisation du point de forage est déplacée d’1 mètre !
  • Continuez à marcher même si vos baguettes ne réagissent pas. C’est normal ! Il faut toujours, lors des premières détections, marcher 5, 10 ou 15 mètres avant que la détection ne commence réellement. C’est un rodage nécessaire pour que votre faculté de perception “endormie” se réveille. Les professionnels ont également besoin de quelques mètres d’échauffement pour “entrer” dans leur monde invisible.

Si, à un moment donné (et cela arrivera, soyez-en persuadés), vos baguettes se mettent légèrement à pivoter l’une vers l’autre :

  • N’arrêtez surtout pas de marcher sinon vous arrêteriez également leur réaction. Elles doivent terminer complètement de tourner car c’est uniquement au moment où elles se croisent que se trouve l‘aplomb de l’eau (le début de la rotation ne signifie que l’approche de l’eau). Vous pouvez cependant ralentir légèrement le pas et observer attentivement leur comportement. Sans doute, allez vous marcher moins d’1 mètre avant d’obtenir leur croisement. Et quand elles se croisent …. vous venez de trouver de l’eau ! Félicitations ! Soyez content de votre découverte. C’est un instant inoubliable dont se souviennent tous ceux qui l’ont vécu.

Procédez ensuite à de nouvelles détections en prenant soin de changer de lieu, pour avoir un terrain vierge. Revenir sur un même point ne sert à rien sinon dépenser son énergie pour refaire la même chose alors qu’il est si réjouissant d’obtenir de nouveaux résultats.

 

 

 

Vous remarquerez une certaine fatigue après 15-20 minutes de détection, c’est normal. Il faut alors arrêter. La détection se pratique par petites doses et surtout de façon régulière. Tout comme le sportif s’entraîne quotidiennement pour atteindre la performance physique, le sourcier s’entraîne également chaque jour pour garder la forme et obtenir la performance énergétique. Mais l’un comme l’autre sont fatigués après l’entraînement ou la compétition. Les sourciers ont d’ailleurs coutume de dire que trouver l’eau les épuise. C’est aussi le signe d’une bonne concentration énergétique.

 

Voilà, sans doute avez-vous observé plusieurs croisements de vos baguettes à différents endroits. Vous savez donc maintenant vous “connecter” à l’eau. Vous pourrez, si vous sentez une forte attirance pour cette détection continuer à vous entraîner et surtout approfondir vos détections pour ensuite déterminer la largeur du courant, son cheminement, le sens du courant, la profondeur et le débit.


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